Le géant de l’agroalimentaire et des produits d’hygiène Unilever veut supprimer environ 1.500 postes d’encadrement dans le monde afin de simplifier son organisation, selon un communiqué publié mardi.
Cette annonce intervient une semaine après une tentative ratée de rachat d’une unité du groupe pharmaceutique GSK pour une somme faramineuse qui avait conduit des actionnaires à questionner la stratégie du patron Alan Jope et fragilisé son action à la Bourse de Londres.
“Unilever a annoncé aujourd’hui des changements à son modèle d’organisation pour en faire une entreprise plus simple” et organisée “autour de cinq types d’activité”: beauté et bien-être, hygiène personnelle, entretien de la maison, nutrition et glaces, a précisé le groupe.
Chaque entité “sera entièrement responsable de sa stratégie, de sa croissance et de la réalisation de bénéfices à l’échelle mondiale”, note le communiqué.
Ces changements se traduiront par “une réduction des postes d’encadrement (…) qui équivaut à environ 1.500 postes dans le monde”, selon le communiqué. Ils feront l’objet d’une consultation et ne devraient pas avoir d’impact sur les effectifs dans les usines du groupe, a précisé Unilever, annonçant aussi une série de nominations à la tête des nouvelles entités.
Après avoir vu son action fondre de 10% en deux jours à la Bourse de Londres en début de semaine dernière, Unilever avait renoncé mercredi à surenchérir sur son offre à 50 milliards de livres sur GSK Consumer Healthcare, qui avait été rejetée par le laboratoire britannique car sous-évaluée selon lui.
Unilever, qui subissait depuis les foudres d’actionnaires mettant en cause les choix stratégiques de l’entreprise, a assuré mardi que sa nouvelle organisation était déjà dans les tuyaux.
Le nouveau modèle “a été développé au cours de l’année passée et vise à poursuivre l’accélération que nous constatons dans la performance de notre entreprise” et à lui permettre d’être “plus réactive”, a affirmé Alan Jope, cité dans le communiqué.
Cette annonce intervient une semaine après une tentative ratée de rachat d’une unité du groupe pharmaceutique GSK pour une somme faramineuse qui avait conduit des actionnaires à questionner la stratégie du patron Alan Jope et fragilisé son action à la Bourse de Londres. “Unilever a annoncé aujourd’hui des changements à son modèle d’organisation pour en faire une entreprise plus simple” et organisée “autour de cinq types d’activité”: beauté et bien-être, hygiène personnelle, entretien de la maison, nutrition et glaces, a précisé le groupe. Chaque entité “sera entièrement responsable de sa stratégie, de sa croissance et de la réalisation de bénéfices à l’échelle mondiale”, note le communiqué. Ces changements se traduiront par “une réduction des postes d’encadrement (…) qui équivaut à environ 1.500 postes dans le monde”, selon le communiqué. Ils feront l’objet d’une consultation et ne devraient pas avoir d’impact sur les effectifs dans les usines du groupe, a précisé Unilever, annonçant aussi une série de nominations à la tête des nouvelles entités. Après avoir vu son action fondre de 10% en deux jours à la Bourse de Londres en début de semaine dernière, Unilever avait renoncé mercredi à surenchérir sur son offre à 50 milliards de livres sur GSK Consumer Healthcare, qui avait été rejetée par le laboratoire britannique car sous-évaluée selon lui. Unilever, qui subissait depuis les foudres d’actionnaires mettant en cause les choix stratégiques de l’entreprise, a assuré mardi que sa nouvelle organisation était déjà dans les tuyaux. Le nouveau modèle “a été développé au cours de l’année passée et vise à poursuivre l’accélération que nous constatons dans la performance de notre entreprise” et à lui permettre d’être “plus réactive”, a affirmé Alan Jope, cité dans le communiqué.