Une transaction réalisée avec des bitcoins est responsable d’autant d’émissions de CO2 qu’une famille moyenne en trois semaines, selon des calculs réalisés par la banque centrale néerlandaise, la DNB, dans le cadre d’une étude sur l’empreinte climatique du secteur financier.
Le bitcoin est une cryptomonnaie qui fonctionne sur la base de la technologie dite de la “blockchain” ou chaîne de blocs, une sorte d’immense base de données partagée. Une technologie particulièrement énergivore.
Selon la DNB, une transaction en bitcoin a émis en 2020 des émissions estimées à 402 Kg de CO2, ce qui correspond à deux tiers des émissions mensuelles d’un ménage néerlandais moyen.
La DNB constate également que l’empreinte écologique des transactions en bitcoin est en augmentation. En 2020, le niveau d’émission de CO2 par transaction était un tiers plus élevé qu’un an auparavant. Une hausse due à un besoin de calculs en croissance du réseau bitcoin mais aussi à l’augmentation de la valeur de la cryptomonnaie qui pousse à augmenter le minage de bitcoins, ce qui augmente en retour la consommation d’électricité.
Le bitcoin est une cryptomonnaie qui fonctionne sur la base de la technologie dite de la “blockchain” ou chaîne de blocs, une sorte d’immense base de données partagée. Une technologie particulièrement énergivore. Selon la DNB, une transaction en bitcoin a émis en 2020 des émissions estimées à 402 Kg de CO2, ce qui correspond à deux tiers des émissions mensuelles d’un ménage néerlandais moyen. La DNB constate également que l’empreinte écologique des transactions en bitcoin est en augmentation. En 2020, le niveau d’émission de CO2 par transaction était un tiers plus élevé qu’un an auparavant. Une hausse due à un besoin de calculs en croissance du réseau bitcoin mais aussi à l’augmentation de la valeur de la cryptomonnaie qui pousse à augmenter le minage de bitcoins, ce qui augmente en retour la consommation d’électricité.