Après un an de crise liée à la pandémie, plus d’un quart des travailleurs (28%) disent se sentir “déconnectés” de leur organisation et 23% affirment ne plus avoir de lien avec leurs collègues. C’est ce qu’il ressort mardi d’une étude effectuée par l’Antwerp Management School (AMS) en collaboration avec la Fédération des entreprises de Belgique (FEB), notamment.
L’enquête a été menée auprès de 2.783 chefs d’entreprise et professionnels des RH ainsi que 4.660 travailleurs.
Outre une détérioration du lien avec l’entreprise, les résultats montrent également qu’un employeur sur trois s’inquiète du départ éventuel de bons collaborateurs. Et pas sans raison. Un sur quatre indique ainsi rechercher (activement et passivement) un autre emploi. Cette proportion a doublé par rapport aux années précédentes.
Malgré cette crise de connexion, la confiance des employeurs envers leurs collaborateurs est en hausse, souligne l’enquête. Plus de la moitié d’entre eux disent avoir plus confiance dans leurs travailleurs qu’avant la crise. Autre constat: plus de la moitié des employeurs sont désormais plus positifs à l’égard des horaires flexibles, et seulement 5% sont plus négatifs.
Près de la moitié des patrons sondés ont par ailleurs été positivement surpris par la résilience affichée par leurs collaborateurs. Mais cela dissimule également un danger car aucun élastique n’a une résistance illimitée. Après un an de crise, un travailleur sur quatre déclare ne pas se sentir en bonne santé mentale et 53% ressentent un effet négatif de la crise du coronavirus. Ils ne sont néanmoins que 7% à déclarer ne pas être en état de travailler parce que la situation a été trop lourde à supporter.
L’enquête a été menée auprès de 2.783 chefs d’entreprise et professionnels des RH ainsi que 4.660 travailleurs. Outre une détérioration du lien avec l’entreprise, les résultats montrent également qu’un employeur sur trois s’inquiète du départ éventuel de bons collaborateurs. Et pas sans raison. Un sur quatre indique ainsi rechercher (activement et passivement) un autre emploi. Cette proportion a doublé par rapport aux années précédentes. Malgré cette crise de connexion, la confiance des employeurs envers leurs collaborateurs est en hausse, souligne l’enquête. Plus de la moitié d’entre eux disent avoir plus confiance dans leurs travailleurs qu’avant la crise. Autre constat: plus de la moitié des employeurs sont désormais plus positifs à l’égard des horaires flexibles, et seulement 5% sont plus négatifs. Près de la moitié des patrons sondés ont par ailleurs été positivement surpris par la résilience affichée par leurs collaborateurs. Mais cela dissimule également un danger car aucun élastique n’a une résistance illimitée. Après un an de crise, un travailleur sur quatre déclare ne pas se sentir en bonne santé mentale et 53% ressentent un effet négatif de la crise du coronavirus. Ils ne sont néanmoins que 7% à déclarer ne pas être en état de travailler parce que la situation a été trop lourde à supporter.