La pause pascale d’un mois décidée fin mars par le Comité de concertation pour freiner la propagation du coronavirus s’est avérée “un flop économique”, déplore lundi le Syndicat neutre pour indépendants (SNI) après un coup de sonde auprès de ses membres.
Depuis ce lundi 26 avril, il est de nouveau possible de faire du shopping sans rendez-vous. Le client peut être accompagné d’une personne du même ménage ou du contact rapproché. Les métiers de contact non médicaux ont aussi pu reprendre leurs activités dans le respect des protocoles établis: salons de coiffure, instituts de beauté, bancs solaires non automatisés, centres de bronzage non automatisés, instituts de pédicure non médicale, salons de manucure, salons de massage, barbiers et salons de tatouage et de piercing.
“Pour les commerçants qui ont dû travailler sur rendez-vous, on peut parler de pertes de chiffre d’affaires de 50 à 60%. Fait remarquable, il n’y a pas eu de transfert important vers le commerce électronique comme lors des confinements précédents”, constate le SNI dans un communiqué. Pour l’organisation d’indépendants, le shopping sur rendez-vous “a totalement manqué son but” et le redémarrage de ce lundi “est lent à venir.”
Le SNI estime que les détaillants devront encore serrer les dents pendant deux semaines et la réouverture des terrasses dans l’horeca, prévue à partir du 8 mai. Alors que les agendas des coiffeurs sont à nouveau remplis, d’autres professions de contact, comme les tatoueurs et les réflexologues, constatent beaucoup d’hésitation de la part des clients, note encore le SNI qui souligne que les commerçants “veulent s’armer davantage contre le virus pour pouvoir rester ouverts de manière définitive” et souhaitent des normes relatives à la ventilation et au renouvellement de l’air.
Depuis ce lundi 26 avril, il est de nouveau possible de faire du shopping sans rendez-vous. Le client peut être accompagné d’une personne du même ménage ou du contact rapproché. Les métiers de contact non médicaux ont aussi pu reprendre leurs activités dans le respect des protocoles établis: salons de coiffure, instituts de beauté, bancs solaires non automatisés, centres de bronzage non automatisés, instituts de pédicure non médicale, salons de manucure, salons de massage, barbiers et salons de tatouage et de piercing. “Pour les commerçants qui ont dû travailler sur rendez-vous, on peut parler de pertes de chiffre d’affaires de 50 à 60%. Fait remarquable, il n’y a pas eu de transfert important vers le commerce électronique comme lors des confinements précédents”, constate le SNI dans un communiqué. Pour l’organisation d’indépendants, le shopping sur rendez-vous “a totalement manqué son but” et le redémarrage de ce lundi “est lent à venir.” Le SNI estime que les détaillants devront encore serrer les dents pendant deux semaines et la réouverture des terrasses dans l’horeca, prévue à partir du 8 mai. Alors que les agendas des coiffeurs sont à nouveau remplis, d’autres professions de contact, comme les tatoueurs et les réflexologues, constatent beaucoup d’hésitation de la part des clients, note encore le SNI qui souligne que les commerçants “veulent s’armer davantage contre le virus pour pouvoir rester ouverts de manière définitive” et souhaitent des normes relatives à la ventilation et au renouvellement de l’air.