Au total, 857.619 personnes ont bénéficié d’au moins une allocation de chômage temporaire l’an dernier, a fait savoir jeudi l’ONEM au moment de la présentation de son rapport annuel 2021. Cela représente une dépense de 2,13 milliards d’euros, soit pratiquement deux fois moins qu’un an auparavant, avec le début de la crise sanitaire (4,62 milliards d’euros pour 1,36 millions de personnes ayant bénéficié du chômage temporaire en 2020). “Les répercussions de la crise diminuent, mais restent importantes”, a insisté l’institution publique de sécurité sociale.
“L’ONEM a réussi, dans un contexte difficile, à remplir ses missions. L’économie belge est plus forte qu’elle ne l’était avant la crise. On s’attendait à des pertes d’emploi plus importantes mais ça n’a pas été le cas. Le choc de la crise a été amorti. L’économie a excellemment bien rebondi. Le chômage complet est moindre qu’en 2019, l’ONEM a joué son rôle et le marché de l’emploi s’est montré résilient”, a souligné Jean-Marc Vandenbergh, administrateur-général de l’ONEM en préambule de la présentation. “Le dispositif du chômage temporaire a fonctionné à plein régime et a parfaitement assuré sa fonction protectrice en compensant au mieux les pertes temporaires d’activités économiques”, a-t-il ajouté.
En moyenne, il s’agissait de 97.106 équivalents temps plein par mois en 2021. Ce chiffre a été multiplié par cinq par rapport à 2019 (19.186), mais reste deux fois moins important qu’en 2020 (194.650).
Le chômage complet indemnisé a, quant à lui, été à son niveau le plus bas depuis 1978, a précisé l’ONEM. En 2021, le nombre moyen d’allocataires est passé à 346.498 par mois, contre 378.147 un an plus tôt. “Et ce malgré la crise actuelle”, s’est satisfaite l’institution publique. Sur les cinq dernières années, il s’agit d’une baisse de 28,9%.
“L’ONEM a réussi, dans un contexte difficile, à remplir ses missions. L’économie belge est plus forte qu’elle ne l’était avant la crise. On s’attendait à des pertes d’emploi plus importantes mais ça n’a pas été le cas. Le choc de la crise a été amorti. L’économie a excellemment bien rebondi. Le chômage complet est moindre qu’en 2019, l’ONEM a joué son rôle et le marché de l’emploi s’est montré résilient”, a souligné Jean-Marc Vandenbergh, administrateur-général de l’ONEM en préambule de la présentation. “Le dispositif du chômage temporaire a fonctionné à plein régime et a parfaitement assuré sa fonction protectrice en compensant au mieux les pertes temporaires d’activités économiques”, a-t-il ajouté. En moyenne, il s’agissait de 97.106 équivalents temps plein par mois en 2021. Ce chiffre a été multiplié par cinq par rapport à 2019 (19.186), mais reste deux fois moins important qu’en 2020 (194.650). Le chômage complet indemnisé a, quant à lui, été à son niveau le plus bas depuis 1978, a précisé l’ONEM. En 2021, le nombre moyen d’allocataires est passé à 346.498 par mois, contre 378.147 un an plus tôt. “Et ce malgré la crise actuelle”, s’est satisfaite l’institution publique. Sur les cinq dernières années, il s’agit d’une baisse de 28,9%.