“On est les rois de l'achat en ligne à l'extérieur de nos frontières. Aucun pays d'Europe ne connaît une telle déperdition”

LA FIDUCIAIRE

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Si aucune réforme en matière du droit du travail n’est entreprise et que les ventes via Internet continuent à se développer comme c’est le cas actuellement, de nombreux emplois pourraient disparaître dans les années à venir dans le secteur du commerce.

“Si rien n’est fait, on va perdre 26.000 emplois en 2025”, met ainsi en garde Dominique Michel, CEO de Comeos, la fédération du commerce, dans une interview à La Libre Belgique mardi.

“On est les rois de l’achat en ligne à l’extérieur de nos frontières. Aucun pays d’Europe ne connaît une telle déperdition”

Avec 550.000 emplois, le secteur du commerce est l’un des plus importants employeurs du pays. Les commerçants belges profitent pourtant très peu des ventes via le Net, puisqu’une commande sur deux effectuée en Belgique est préparée à l’étranger, selon les chiffres de Comeos. “On est les rois de l’achat en ligne à l’extérieur de nos frontières. Aucun pays d’Europe ne connaît une telle déperdition”, illustre le patron de Comeos.

Pour Dominique Michel, il faut des réformes en matière du droit du travail en Belgique. “On dépend toujours d’une loi qui date de 1978 et n’est plus du tout adaptée.” Il plaide notamment pour revoir l’heure à laquelle débute en Belgique le travail de nuit.

Selon Comeos, même le secteur alimentaire est menacé par l’essor de l’e-commerce.

“Si rien n’est fait, on va perdre 26.000 emplois en 2025”, met ainsi en garde Dominique Michel, CEO de Comeos, la fédération du commerce, dans une interview à La Libre Belgique mardi.Avec 550.000 emplois, le secteur du commerce est l’un des plus importants employeurs du pays. Les commerçants belges profitent pourtant très peu des ventes via le Net, puisqu’une commande sur deux effectuée en Belgique est préparée à l’étranger, selon les chiffres de Comeos. “On est les rois de l’achat en ligne à l’extérieur de nos frontières. Aucun pays d’Europe ne connaît une telle déperdition”, illustre le patron de Comeos. Pour Dominique Michel, il faut des réformes en matière du droit du travail en Belgique. “On dépend toujours d’une loi qui date de 1978 et n’est plus du tout adaptée.” Il plaide notamment pour revoir l’heure à laquelle débute en Belgique le travail de nuit.Selon Comeos, même le secteur alimentaire est menacé par l’essor de l’e-commerce.

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