Meta (Facebook) a mis en service aux États-Unis un supercalculateur parmi les plus puissants du monde pour ses recherches en intelligence artificielle, qui serviront notamment à progresser vers le métavers, a-t-il annoncé lundi.
Le RSC (Research Super Cluster) permettra notamment à Meta d’exploiter les données de ses différentes plateformes, au premier rang desquelles Facebook, pour entraîner des moteurs d’intelligence artificielle dans le domaine du traitement du langage ou de l’image notamment.
“Alors que notre précédente infrastructure de recherche en intelligence artificielle n’utilisait que des données en accès libre et autres jeux de données publiquement disponibles”, RSC permettra “d’utiliser des exemples du monde réel venant” des plateformes de Meta, a indiqué le groupe.
“C’est la première fois que la performance, la fiabilité, la sécurité et le respect de la vie privée sont prises en compte à une telle échelle”
Les moteurs d’intelligence artificielle sont entraînés en ingérant des quantités énormes de données – par exemple du texte pour les modèles de traitement de langage, ou des images vidéo pour les modèles de vision artificielle.
Le RSC sera à terme capable d’entraîner des moteurs d’intelligence artificielle prenant en compte “plus de mille milliards de paramètres”, dans des jeux de données atteignant “1 exabyte”, soit l’équivalent de “36.000 ans de vidéo en haute définition”, selon Meta.
La machine doit permettre de construire des systèmes offrant “de la traduction en temps réel pour de nombreuses personnes parlant des langues différentes, leur permettant de travailler simultanément ensemble (…) ou de jouer ensemble à un jeu en réalité augmentée”, a détaillé le groupe américain. Elle “ouvrira la voie pour construire des technologies pour la prochaine grande plateforme numérique, le métavers, où les applications et produits utilisant l’intelligence artificielle joueront un rôle important” a-t-il ajouté.
Le métavers, projet fétiche du fondateur de Meta, Mark Zuckerberg, désigne un monde numérique doublure du monde physique, où les internautes pourront interagir les uns avec les autres quelle que soit leur position géographique.
Selon les ingénieurs de Meta, la puissance du RSC le place aujourd’hui au niveau de l’américain Perlmutter, le 5e supercalculateur du monde en matière de puissance de calcul, selon la liste TOP500 qui fait référence en la matière.
Avec les améliorations prévues, il deviendra “à notre connaissance le superordinateur d’intelligence artificielle le plus puissant du monde“, selon Meta.
Le RSC (Research Super Cluster) permettra notamment à Meta d’exploiter les données de ses différentes plateformes, au premier rang desquelles Facebook, pour entraîner des moteurs d’intelligence artificielle dans le domaine du traitement du langage ou de l’image notamment.”Alors que notre précédente infrastructure de recherche en intelligence artificielle n’utilisait que des données en accès libre et autres jeux de données publiquement disponibles”, RSC permettra “d’utiliser des exemples du monde réel venant” des plateformes de Meta, a indiqué le groupe.Les moteurs d’intelligence artificielle sont entraînés en ingérant des quantités énormes de données – par exemple du texte pour les modèles de traitement de langage, ou des images vidéo pour les modèles de vision artificielle.Le RSC sera à terme capable d’entraîner des moteurs d’intelligence artificielle prenant en compte “plus de mille milliards de paramètres”, dans des jeux de données atteignant “1 exabyte”, soit l’équivalent de “36.000 ans de vidéo en haute définition”, selon Meta.La machine doit permettre de construire des systèmes offrant “de la traduction en temps réel pour de nombreuses personnes parlant des langues différentes, leur permettant de travailler simultanément ensemble (…) ou de jouer ensemble à un jeu en réalité augmentée”, a détaillé le groupe américain. Elle “ouvrira la voie pour construire des technologies pour la prochaine grande plateforme numérique, le métavers, où les applications et produits utilisant l’intelligence artificielle joueront un rôle important” a-t-il ajouté.Le métavers, projet fétiche du fondateur de Meta, Mark Zuckerberg, désigne un monde numérique doublure du monde physique, où les internautes pourront interagir les uns avec les autres quelle que soit leur position géographique.Selon les ingénieurs de Meta, la puissance du RSC le place aujourd’hui au niveau de l’américain Perlmutter, le 5e supercalculateur du monde en matière de puissance de calcul, selon la liste TOP500 qui fait référence en la matière. Avec les améliorations prévues, il deviendra “à notre connaissance le superordinateur d’intelligence artificielle le plus puissant du monde”, selon Meta.