Un manque de liquidités et la solvabilité figurent parmi les défis auxquels font face les entreprises belges dans le contexte actuel, selon une enquête internationale publiée vendredi par PwC.
L’économie belge, à l’instar de la plupart des économies mondiale, a été frappée de plein fouet par la pandémie et les mesures de confinement. Mais après une chute du PIB en 2020, celui-ci devrait connaître une croissance proche de 5% en 2021.
Selon PwC, le manque de liquidités concerne 23% de toutes les entreprises en Belgique et jusqu’à 45% de celles des secteurs les plus touchés.
La société de consultance constate que la solvabilité est également un défi puisqu’aujourd’hui moins de 75% des sociétés non financières sont considérées comme solvables alors qu’elles étaient 85% avant la crise.
Plus récemment, c’est le choc provoqué par la pénurie mondiale de semi-conducteurs et les augmentations des prix des matières premières et de l’énergie dans divers secteurs, qui ont entraîné des perturbations importantes des activités et une pression sur les marges.
Enfin, si le taux d’activités de restructuration a été peu élevé au cours de la première moitié de 2021, il a augmenté légèrement ces derniers mois, mais et devrait augmenter progressivement au cours des six à 18 prochains mois, prévient PwC.
L’économie belge, à l’instar de la plupart des économies mondiale, a été frappée de plein fouet par la pandémie et les mesures de confinement. Mais après une chute du PIB en 2020, celui-ci devrait connaître une croissance proche de 5% en 2021. Selon PwC, le manque de liquidités concerne 23% de toutes les entreprises en Belgique et jusqu’à 45% de celles des secteurs les plus touchés. La société de consultance constate que la solvabilité est également un défi puisqu’aujourd’hui moins de 75% des sociétés non financières sont considérées comme solvables alors qu’elles étaient 85% avant la crise. Plus récemment, c’est le choc provoqué par la pénurie mondiale de semi-conducteurs et les augmentations des prix des matières premières et de l’énergie dans divers secteurs, qui ont entraîné des perturbations importantes des activités et une pression sur les marges. Enfin, si le taux d’activités de restructuration a été peu élevé au cours de la première moitié de 2021, il a augmenté légèrement ces derniers mois, mais et devrait augmenter progressivement au cours des six à 18 prochains mois, prévient PwC.