“Les employeurs peinent de plus en plus à recruter alors que nous avons rarement eu autant d'offres d'emplois en Belgique”

LA FIDUCIAIRE

Experts-Comptables ITAA

Malgré une hausse de 45% de postes à pourvoir par rapport à 2020 (et 30% par rapport à 2019), les jeunes diplômés étaient cette année 16% de moins que l’année dernière à se lancer sur le marché du travail.

“Cette baisse significative du nombre de jeunes diplômés qui se lancent dans la vie active est problématique pour le marché du travail”, explique le directeur exécutif de Page Personnel Belgique, Olivier Dufour.

“Les employeurs peinent de plus en plus à recruter alors que nous avons rarement eu autant d’offres d’emplois en Belgique”, soit 45 % de plus qu’en 2020 et 30 % de plus qu’en 2019.

“La crise sanitaire et le poids qu’elle a eu sur le moral des étudiants expliquent en partie leur désir de ne pas se lancer tout de suite dans le travail et de profiter encore un peu”, ajoute M. Dufour. “En plus de ces jeunes qui ressentent le besoin de changer d’air, nous rencontrons de nombreux jeunes diplômés qui, tout comme en 2009 après la crise économique mondiale, sont effrayés d’arriver sur le marché du travail qu’ils croient en crise et craignent ainsi de ne pas trouver d’emploi rapidement, décidant de se lancer alors dans des formations complémentaires. A ces jeunes-là nous disons: la situation est complétement différente d’il y a 10 ans. En 2020 et 2021, l’économie a tenu, le marché de l’emploi n’a plus été aussi fort depuis des années. Les entreprises vivent une guerre des talents, n’ayez pas peur de vous lancer.”

“Cette baisse significative du nombre de jeunes diplômés qui se lancent dans la vie active est problématique pour le marché du travail”, explique le directeur exécutif de Page Personnel Belgique, Olivier Dufour. “Les employeurs peinent de plus en plus à recruter alors que nous avons rarement eu autant d’offres d’emplois en Belgique”, soit 45 % de plus qu’en 2020 et 30 % de plus qu’en 2019. “La crise sanitaire et le poids qu’elle a eu sur le moral des étudiants expliquent en partie leur désir de ne pas se lancer tout de suite dans le travail et de profiter encore un peu”, ajoute M. Dufour. “En plus de ces jeunes qui ressentent le besoin de changer d’air, nous rencontrons de nombreux jeunes diplômés qui, tout comme en 2009 après la crise économique mondiale, sont effrayés d’arriver sur le marché du travail qu’ils croient en crise et craignent ainsi de ne pas trouver d’emploi rapidement, décidant de se lancer alors dans des formations complémentaires. A ces jeunes-là nous disons: la situation est complétement différente d’il y a 10 ans. En 2020 et 2021, l’économie a tenu, le marché de l’emploi n’a plus été aussi fort depuis des années. Les entreprises vivent une guerre des talents, n’ayez pas peur de vous lancer.”

Actualités récentes

Le précompte mobilier en Belgique

Le précompte mobilier en Belgique

Par Martin Piret Gérard, Associé chez CONSILIUM Gst Le précompte mobilier est certainement l’impôt le plus connu des investisseurs belges. Il s’applique aux revenus mobiliers, principalement aux dividendes et aux intérêts. En Belgique, le taux normal du précompte...

lire plus