Il n’était question au départ que de taxer les vols de transit au départ d’aéroports belges de moins de 500 km pour encourager les autres alternatives. Mais selon La Libre et la DH, le projet négocié par les partenaires de la Vivaldi serait tout autre.
L’annonce d’une “taxe avion”, à la sortie du conclave budgétaire d’octobre 2021, devait initialement concerner les vols de transit au départ d’aéroports belges de moins de 500 km afin d’encourager les alternatives comme le train, par exemple. Le projet tel qu’il a été négocié jusqu’ici par les différents partenaires de la Vivaldi – et dont ont pris connaissance La Libre Belgique et La Dernière Heure – devrait finalement concerner tous les vols.
Concrètement, écrivent les deux quotidiens dans leur édition de vendredi, la taxe serait de 10 euros par billet si la destination finale au départ de la Belgique est située à moins de 500 km à vol d’oiseau par rapport à l’aéroport de départ (hors transit). Elle serait de 2 euros si la destination finale au départ de la Belgique (hors transit) est située à plus de 500km à vol d’oiseau mais dans l’Espace économique européen (EEE); et 4 euros hors de l’EEE.
En d’autres termes, tout le monde sera concerné. Cette “taxe avion” s’inscrit dans le cadre plus large des négociations concernant le tax shift. Ce glissement fiscal, de 300 millions d’euros en 2022, doit en effet en partie être financé par cette taxe sur les billets d’avion, à hauteur de 30 millions d’euros.
L’annonce d’une “taxe avion”, à la sortie du conclave budgétaire d’octobre 2021, devait initialement concerner les vols de transit au départ d’aéroports belges de moins de 500 km afin d’encourager les alternatives comme le train, par exemple. Le projet tel qu’il a été négocié jusqu’ici par les différents partenaires de la Vivaldi – et dont ont pris connaissance La Libre Belgique et La Dernière Heure – devrait finalement concerner tous les vols. Concrètement, écrivent les deux quotidiens dans leur édition de vendredi, la taxe serait de 10 euros par billet si la destination finale au départ de la Belgique est située à moins de 500 km à vol d’oiseau par rapport à l’aéroport de départ (hors transit). Elle serait de 2 euros si la destination finale au départ de la Belgique (hors transit) est située à plus de 500km à vol d’oiseau mais dans l’Espace économique européen (EEE); et 4 euros hors de l’EEE. En d’autres termes, tout le monde sera concerné. Cette “taxe avion” s’inscrit dans le cadre plus large des négociations concernant le tax shift. Ce glissement fiscal, de 300 millions d’euros en 2022, doit en effet en partie être financé par cette taxe sur les billets d’avion, à hauteur de 30 millions d’euros.