La Belgique a progressé de 20 places au classement mondial de la main-d’oeuvre (Total Workforce Index) établi annuellement par ManpowerGroup. Selon l’index qui mesure l’attractivité des marchés du travail et de la main-d’oeuvre de 76 pays à travers le monde, la Belgique occupe désormais la 34e place du classement 2020, dominé par les Etats-Unis.
Pour établir son index, ManpowerGroup analyse 200 critères-clés du marché du travail concernant la disponibilité des compétences, le coût du travail, le cadre règlementaire et la productivité. L’étude examine les conditions d’embauche, de gestion, de développement et de rétention des talents dont les entreprises ont besoin pour assurer leur croissance.
Selon les résultats, les États-Unis possèdent le marché du travail le plus attractif et devancent la Nouvelle-Zélande, le Canada, l’Irlande ainsi que le Royaume-Uni. Parmi les Européens, les Pays-Bas occupent la 6e place, l’Allemagne est en 15e position, le Grand-Duché de Luxembourg en 18e et l’Espagne en 25e. La Belgique, 34e, devance notamment la France (39e), l’Italie (47e) mais aussi l’Inde (40e), la Chine (55e) ainsi que la Russie (63e).
Selon les auteurs de l’étude, la Belgique progresse principalement grâce à ses bonnes performances sur les critères liés au télétravail, ajoutés dans la nouvelle édition du classement, et à la qualité de sa main-d’oeuvre. Le pourcentage de travailleurs hautement qualifiés (46,8%) et le nombre de spécialistes en Recherche et Développement (16,61 par 1.000) sont notamment en progression.
Le coût du travail, le nombre insuffisant de travailleurs disponibles en raison des pénuries de talents ou le taux d’emploi encore trop faible pèsent cependant sur les résultats de la Belgique, selon l’index. “Notre pays pointe également en 46e position sur le critère de la facilité à entreprendre, confirmant la complexité règlementaire ou administrative qui freine les investisseurs”, ajoute Philippe Lacroix, managing director de ManpowerGroup BeLux.
Selon le groupe, la rupture technologique ouvre de nouvelles opportunités pour les entreprises de se développer et de créer de la valeur dans un environnement commercial “complexe et imprévisible”, qui s’est accéléré sous l’effet de la crise du Covid. “A condition qu’elles disposent de la main-d’oeuvre qualifiée nécessaire pour rester compétitives aujourd’hui et demain”, souligne-t-il.
Pour établir son index, ManpowerGroup analyse 200 critères-clés du marché du travail concernant la disponibilité des compétences, le coût du travail, le cadre règlementaire et la productivité. L’étude examine les conditions d’embauche, de gestion, de développement et de rétention des talents dont les entreprises ont besoin pour assurer leur croissance. Selon les résultats, les États-Unis possèdent le marché du travail le plus attractif et devancent la Nouvelle-Zélande, le Canada, l’Irlande ainsi que le Royaume-Uni. Parmi les Européens, les Pays-Bas occupent la 6e place, l’Allemagne est en 15e position, le Grand-Duché de Luxembourg en 18e et l’Espagne en 25e. La Belgique, 34e, devance notamment la France (39e), l’Italie (47e) mais aussi l’Inde (40e), la Chine (55e) ainsi que la Russie (63e). Selon les auteurs de l’étude, la Belgique progresse principalement grâce à ses bonnes performances sur les critères liés au télétravail, ajoutés dans la nouvelle édition du classement, et à la qualité de sa main-d’oeuvre. Le pourcentage de travailleurs hautement qualifiés (46,8%) et le nombre de spécialistes en Recherche et Développement (16,61 par 1.000) sont notamment en progression. Le coût du travail, le nombre insuffisant de travailleurs disponibles en raison des pénuries de talents ou le taux d’emploi encore trop faible pèsent cependant sur les résultats de la Belgique, selon l’index. “Notre pays pointe également en 46e position sur le critère de la facilité à entreprendre, confirmant la complexité règlementaire ou administrative qui freine les investisseurs”, ajoute Philippe Lacroix, managing director de ManpowerGroup BeLux. Selon le groupe, la rupture technologique ouvre de nouvelles opportunités pour les entreprises de se développer et de créer de la valeur dans un environnement commercial “complexe et imprévisible”, qui s’est accéléré sous l’effet de la crise du Covid. “A condition qu’elles disposent de la main-d’oeuvre qualifiée nécessaire pour rester compétitives aujourd’hui et demain”, souligne-t-il.