La banque américaine JPMorgan a annoncé lundi qu’elle allait financer le projet de “Super League” européenne de football, porté par une poignée de clubs parmi les plus riches et qui secoue le monde de football.
“Je peux confirmer que nous finançons l’opération”, a indiqué un porte-parole de la banque à Londres de la banque, ajoutant n’avoir pas d’autre commentaire à ce stade.
L’AC Milan, Arsenal, Atlético Madrid, Chelsea FC, FC Barcelone, Inter Milan, Juventus, Liverpool, Manchester City, Manchester United, Real Madrid et Tottenham ont provoqué un tsunami dans le monde du football, dimanche soir, en annonçant la création de leur Super League. Une compétition fermée qui entrera directement en concurrence avec les compétitions de l’UEFA.
Ce projet, expliquent ses promoteurs, est voué à “générer des ressources supplémentaires pour toute la pyramide du football”.
“En contrepartie de leur engagement, les clubs fondateurs recevront un versement en une fois de l’ordre de 3,5 milliards d’euros destinés uniquement à des investissements en infrastructures et compenser l’impact de la crise du Covid-19”, poursuit le communiqué.
Trois clubs supplémentaires se joindront à ce groupe de douze pour la saison inaugurale “qui devrait commencer dès que possible.”
Le format prévoit une compétition à 20 clubs, les quinze fondateurs et cinq issus d’un “mécanisme de qualification” permettant de se qualifier sur base des résultats de la saison précédente.
“Je peux confirmer que nous finançons l’opération”, a indiqué un porte-parole de la banque à Londres de la banque, ajoutant n’avoir pas d’autre commentaire à ce stade. L’AC Milan, Arsenal, Atlético Madrid, Chelsea FC, FC Barcelone, Inter Milan, Juventus, Liverpool, Manchester City, Manchester United, Real Madrid et Tottenham ont provoqué un tsunami dans le monde du football, dimanche soir, en annonçant la création de leur Super League. Une compétition fermée qui entrera directement en concurrence avec les compétitions de l’UEFA. Ce projet, expliquent ses promoteurs, est voué à “générer des ressources supplémentaires pour toute la pyramide du football”. “En contrepartie de leur engagement, les clubs fondateurs recevront un versement en une fois de l’ordre de 3,5 milliards d’euros destinés uniquement à des investissements en infrastructures et compenser l’impact de la crise du Covid-19”, poursuit le communiqué. Trois clubs supplémentaires se joindront à ce groupe de douze pour la saison inaugurale “qui devrait commencer dès que possible.” Le format prévoit une compétition à 20 clubs, les quinze fondateurs et cinq issus d’un “mécanisme de qualification” permettant de se qualifier sur base des résultats de la saison précédente.