Bureau d’expertise spécialisé dans le domaine réglementaire communautaire, Obelis aide les fabricants hors Union européenne à mettre leurs produits en conformité avec la réglementation européenne.
Fondée en 1988 par Gideon Elkayam, Obelis est une petite entreprise familiale qui a grandi à son rythme. Un rythme qui a épousé celui de la réglementation européenne concernant la mise en conformité des produits fabriqués par des entreprises hors Union européenne souhaitant les commercialiser sur le marché européen. “Nous ne sommes pas des distributeurs, précise Gideon Elkayam. Nous représentons les fabricants étrangers qui souhaitent entrer sur le marché européen et veillons à ce que leurs produits répondent aux normes et règlements en vigueur dans l’Union européenne.” C’est en 1991 que ses activités ont démarré avec les appareils médicaux. Depuis, Obelis a étendu son expertise à d’autres domaines tels que les diagnostics in vitro, les cosmétiques ou encore les compléments alimentaires.
“Nous ne nous limitons pas à ces domaines, reprend le CEO. Nos juristes, chimistes, pharmaciens, ingénieurs et autres experts collaborent afin de fournir à nos clients l’ensemble des services dont ils ont besoin pour pouvoir être présents sur le marché de l’Union européenne: représentation, marquage CE, mise en conformité, consultance, enregistrement des produits, etc. Bref, nous mettons tout en oeuvre pour les aider à évoluer dans un environnement réglementaire complexe. Nous avons déjà aidé plus de 3.000 entreprises réparties dans 70 pays en dehors de l’Union européenne. De plus, en veillant à la conformité de ces produits, nous contribuons à favoriser des marchés plus sûrs pour les consommateurs européens.”
Merci le Brexit
Parmi les raisons qui expliquent la belle progression d’Obelis entre 2019 et 2020 où sa marge brute a quasi doublé passant de 2,2 à 4,2 millions d’euros figure le Brexit ainsi que la crise sanitaire qui a nécessité notamment l’homologation de dispositifs de tests. “Merci le Brexit, lâche Gideon Elkayam. Avec la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, ses entreprises doivent passer par la réglementation de l’Union européenne si elles souhaitent accéder à son marché.” Outre son siège bruxellois, Obelis dispose également de bureaux en Israël ainsi qu’en Chine. Elle emploie une centaine de personnes dont 75 à Bruxelles. Par ailleurs, deux autres sociétés similaires qui ne sont pas des filiales existent en Suisse et au Royaume-Uni.
Dans les mois qui viennent, Gideon Elkayam va s’atteler à faire d’Obelis “the best place to work“. “C’est notre objectif. Nous allons repenser notre organisation afin de partager, par exemple, la prise de décisions. Plus largement, les entreprises doivent veiller pour leurs salariés à l’équilibre entre travail et vie privée. Ma priorité est de veiller d’abord à la satisfaction de l’employé car si votre employé est content, votre client le sera également”, conclut-il.
Fondée en 1988 par Gideon Elkayam, Obelis est une petite entreprise familiale qui a grandi à son rythme. Un rythme qui a épousé celui de la réglementation européenne concernant la mise en conformité des produits fabriqués par des entreprises hors Union européenne souhaitant les commercialiser sur le marché européen. “Nous ne sommes pas des distributeurs, précise Gideon Elkayam. Nous représentons les fabricants étrangers qui souhaitent entrer sur le marché européen et veillons à ce que leurs produits répondent aux normes et règlements en vigueur dans l’Union européenne.” C’est en 1991 que ses activités ont démarré avec les appareils médicaux. Depuis, Obelis a étendu son expertise à d’autres domaines tels que les diagnostics in vitro, les cosmétiques ou encore les compléments alimentaires.”Nous ne nous limitons pas à ces domaines, reprend le CEO. Nos juristes, chimistes, pharmaciens, ingénieurs et autres experts collaborent afin de fournir à nos clients l’ensemble des services dont ils ont besoin pour pouvoir être présents sur le marché de l’Union européenne: représentation, marquage CE, mise en conformité, consultance, enregistrement des produits, etc. Bref, nous mettons tout en oeuvre pour les aider à évoluer dans un environnement réglementaire complexe. Nous avons déjà aidé plus de 3.000 entreprises réparties dans 70 pays en dehors de l’Union européenne. De plus, en veillant à la conformité de ces produits, nous contribuons à favoriser des marchés plus sûrs pour les consommateurs européens.”Merci le BrexitParmi les raisons qui expliquent la belle progression d’Obelis entre 2019 et 2020 où sa marge brute a quasi doublé passant de 2,2 à 4,2 millions d’euros figure le Brexit ainsi que la crise sanitaire qui a nécessité notamment l’homologation de dispositifs de tests. “Merci le Brexit, lâche Gideon Elkayam. Avec la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, ses entreprises doivent passer par la réglementation de l’Union européenne si elles souhaitent accéder à son marché.” Outre son siège bruxellois, Obelis dispose également de bureaux en Israël ainsi qu’en Chine. Elle emploie une centaine de personnes dont 75 à Bruxelles. Par ailleurs, deux autres sociétés similaires qui ne sont pas des filiales existent en Suisse et au Royaume-Uni.Dans les mois qui viennent, Gideon Elkayam va s’atteler à faire d’Obelis “the best place to work”. “C’est notre objectif. Nous allons repenser notre organisation afin de partager, par exemple, la prise de décisions. Plus largement, les entreprises doivent veiller pour leurs salariés à l’équilibre entre travail et vie privée. Ma priorité est de veiller d’abord à la satisfaction de l’employé car si votre employé est content, votre client le sera également”, conclut-il.