“Plus que jamais, si le 1er mai est la fête du travail, il n’y a pas de raison que cette fête soit réservée aux salariés. UCM souhaite rappeler que des milliers d’hommes et de femmes travaillent quotidiennement sans la moindre perspective d’augmentation de revenus. L’occasion d’insister sur le fait que l’emploi ne se décrète pas, il se crée¿ par des indépendants, qui créent leur propre emploi, mais aussi aux chefs de PME qui créent celui des autres !”, souligne vendredi l’organisation d’indépendants UCM dans un communiqué.
La crise du coronavirus frappe durement de nombreux secteurs occupés par les indépendants. Si, selon le baromètre UCM du premier trimestre 2021, la situation des entreprises s’améliore “timidement” en Wallonie et à Bruxelles, leur chiffre d’affaires reste néanmoins 10 % en dessous des résultats des premiers trimestres 2019 et 2020.
“Un indépendant sur six déclare une baisse d’activités de son entreprise. Ils perdent encore 35% de leurs revenus par rapport à 2019 tandis que les pertes des plus petites structures ne devraient s’estomper que courant 2022”, explique UCM.
“A l’heure actuelle, plus d’un indépendant sur dix a encore besoin du droit passerelle pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, surtout s’il travaille dans l’un des secteurs très durement touchés par la crise (les professions de contact non médical, le non alimentaire, le voyage, le transport de personnes, l’HoReCa et l’évènementiel)”, rappelle UCM.
La crise du coronavirus frappe durement de nombreux secteurs occupés par les indépendants. Si, selon le baromètre UCM du premier trimestre 2021, la situation des entreprises s’améliore “timidement” en Wallonie et à Bruxelles, leur chiffre d’affaires reste néanmoins 10 % en dessous des résultats des premiers trimestres 2019 et 2020. “Un indépendant sur six déclare une baisse d’activités de son entreprise. Ils perdent encore 35% de leurs revenus par rapport à 2019 tandis que les pertes des plus petites structures ne devraient s’estomper que courant 2022”, explique UCM. “A l’heure actuelle, plus d’un indépendant sur dix a encore besoin du droit passerelle pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, surtout s’il travaille dans l’un des secteurs très durement touchés par la crise (les professions de contact non médical, le non alimentaire, le voyage, le transport de personnes, l’HoReCa et l’évènementiel)”, rappelle UCM.