EasyJet a jugé l’offre de Wizz Air insuffisante.
Comme de nombreuses compagnies aériennes, EasyJet est dans une zone de turbulences depuis le début de la pandémie. Sa valeur boursière a été divisée par deux, aux alentours des 4 milliards d’euros. Une proie intéressante pour un concurrent qui en a les moyens.
Par exemple, le groupe IAG. La semaine dernière, EasyJet a ainsi repoussé une offre non sollicitée, la jugeant insuffisante. L’affaire serait close. Selon l’agence Bloomberg, l’assaillant ne serait d’autre que Wizz Air, la compagnie hongroise à bas coût. Celle-ci est bien sortie de la crise sanitaire et affiche déjà un remarquable taux d’activité: 85% par rapport à 2019, loin devant Ryanair (75%) et EasyJet (57%).
Un tel rapprochement ferait d’ailleurs sens puisqu’il offrirait aux deux compagnies une vraie taille critique avec une flotte composée entièrement d’Airbus, comparable à celle de Ryanair. EasyJet a choisi de continuer seule et a procédé à une augmentation de capital de 1,4 milliard d’euros, entre autres pour doper ses vols au départ des grandes villes européennes.
Comme de nombreuses compagnies aériennes, EasyJet est dans une zone de turbulences depuis le début de la pandémie. Sa valeur boursière a été divisée par deux, aux alentours des 4 milliards d’euros. Une proie intéressante pour un concurrent qui en a les moyens. Par exemple, le groupe IAG. La semaine dernière, EasyJet a ainsi repoussé une offre non sollicitée, la jugeant insuffisante. L’affaire serait close. Selon l’agence Bloomberg, l’assaillant ne serait d’autre que Wizz Air, la compagnie hongroise à bas coût. Celle-ci est bien sortie de la crise sanitaire et affiche déjà un remarquable taux d’activité: 85% par rapport à 2019, loin devant Ryanair (75%) et EasyJet (57%). Un tel rapprochement ferait d’ailleurs sens puisqu’il offrirait aux deux compagnies une vraie taille critique avec une flotte composée entièrement d’Airbus, comparable à celle de Ryanair. EasyJet a choisi de continuer seule et a procédé à une augmentation de capital de 1,4 milliard d’euros, entre autres pour doper ses vols au départ des grandes villes européennes.