La Chambre a approuvé à l’unanimité jeudi en séance plénière un projet de loi visant à préciser le dispositif des flexi-jobs. Une nouvelle condition est ainsi introduite par ce projet de loi porté par le ministre de l’Emploi Pierre-Yves Dermagne.
Cette condition supplémentaire interdit, chez un même employeur, le cumul entre un flexi-job et un travail par l’intermédiaire d’une entreprise de travail intérimaire. Le texte approuvé jeudi répond à un avis formulé en juin dernier par le Conseil national du travail.
Les flexi-jobs ont été lancés en 2015 par le gouvernement Michel et ciblait l’horeca, dans le but de lutter contre le travail au noir. Ils permettent aux travailleurs déjà occupés au minimum à 4/5e temps de prester des activités complémentaires à des conditions avantageuses. Début 2018, le statut a été élargi à plusieurs autres petits secteurs commerciaux, ainsi qu’aux pensionnés sans aucune restriction.
Cette condition supplémentaire interdit, chez un même employeur, le cumul entre un flexi-job et un travail par l’intermédiaire d’une entreprise de travail intérimaire. Le texte approuvé jeudi répond à un avis formulé en juin dernier par le Conseil national du travail. Les flexi-jobs ont été lancés en 2015 par le gouvernement Michel et ciblait l’horeca, dans le but de lutter contre le travail au noir. Ils permettent aux travailleurs déjà occupés au minimum à 4/5e temps de prester des activités complémentaires à des conditions avantageuses. Début 2018, le statut a été élargi à plusieurs autres petits secteurs commerciaux, ainsi qu’aux pensionnés sans aucune restriction.