Alors que l’invasion de l’Ukraine par la Russie déstabilise déjà l’économie mondiale, la Fédération des entreprises de Belgique (FEB) a décidé de créer une task-force interne multidisciplinaire afin de suivre au mieux la situation et les diverses conséquences de cette crise sur nos entreprises, indique-t-elle lundi. Les fédérations sectorielles les plus touchées vont y être impliquées.
Les entreprises belges actives en Ukraine et en Russie subissent de plein fouet l’impact du conflit, mais les sociétés présentes sur notre territoire ne sont pas à l’abri également, constate-t-on. “Les premiers effets de la crise se font déjà sentir dans divers secteurs ou sous-secteurs, comme l’alimentation, la grande distribution, le bois, de multiples industries technologiques, la construction ou le transport international (…) que ce soit directement ou indirectement, dans le cadre de leurs échanges (importations ou exportations) avec les pays engagés dans ce conflit voire de leurs activités sur place, ou en raison des sanctions qui frappent la Russie et la Biélorussie (et des contre-mesures russes), ou encore des hausses de prix et des pénuries de certaines matières premières (et du risque de spirale négative liée à l’inflation)”, analyse la FEB.
La fédération a donc décidé de prendre les choses en main à son niveau, et de créer, en collaboration avec les experts des fédérations, une task-force. Cette dernière va se pencher sur différents aspects tels que l’impact des sanctions, les perturbations dans les importations et les exportations, les conséquences en matière d’énergie, l’impact sur l’inflation et la croissance et les mesures de soutien (procédure souple pour le chômage temporaire). En parallèle, la FEB a demandé aux autorités de créer un ‘Single Point of Contact’ où les entreprises pourraient adresser leurs questions concrètes, ajoute-t-elle. La FEB se dit “choquée par l’invasion de l’Ukraine par la Russie et appelle, conjointement avec tous les membres de la coupole européenne des employeurs BusinessEurope, à déposer les armes”.
Les entreprises belges actives en Ukraine et en Russie subissent de plein fouet l’impact du conflit, mais les sociétés présentes sur notre territoire ne sont pas à l’abri également, constate-t-on. “Les premiers effets de la crise se font déjà sentir dans divers secteurs ou sous-secteurs, comme l’alimentation, la grande distribution, le bois, de multiples industries technologiques, la construction ou le transport international (…) que ce soit directement ou indirectement, dans le cadre de leurs échanges (importations ou exportations) avec les pays engagés dans ce conflit voire de leurs activités sur place, ou en raison des sanctions qui frappent la Russie et la Biélorussie (et des contre-mesures russes), ou encore des hausses de prix et des pénuries de certaines matières premières (et du risque de spirale négative liée à l’inflation)”, analyse la FEB. La fédération a donc décidé de prendre les choses en main à son niveau, et de créer, en collaboration avec les experts des fédérations, une task-force. Cette dernière va se pencher sur différents aspects tels que l’impact des sanctions, les perturbations dans les importations et les exportations, les conséquences en matière d’énergie, l’impact sur l’inflation et la croissance et les mesures de soutien (procédure souple pour le chômage temporaire). En parallèle, la FEB a demandé aux autorités de créer un ‘Single Point of Contact’ où les entreprises pourraient adresser leurs questions concrètes, ajoute-t-elle. La FEB se dit “choquée par l’invasion de l’Ukraine par la Russie et appelle, conjointement avec tous les membres de la coupole européenne des employeurs BusinessEurope, à déposer les armes”.