Brussels Airlines est parvenue à réduire sensiblement sa perte opérationnelle au cours d’une année 2021 toujours marquée par la pandémie de Covid-19, a annoncé jeudi la compagnie aérienne.
Son ebit s’affiche dans le rouge à hauteur de 189 milllions d’euros mais il avait atteint -332 millions en 2020. Cette amélioration a été rendue possible par une augmentation de 47% du nombre de passagers transportés, à près de 3,48 millions.
Si le début d’année 2021 a toujours été plombé par les mesures sanitaires, l’interdiction de voyager a été levée le 19 avril et la demande a commencé à croître dans la foulée. “La demande estivale a duré plus longtemps que les autres années en raison de l’effet des plans de voyage reportés et du désir de voyager après le verrouillage. Ce pic estival fort et prolongé a permis d’enregistrer un troisième trimestre positif et le premier bénéfice depuis le début de la pandémie”, rappelle la compagnie aérienne dans un communiqué. En fin d’année, c’est le variant Omicron qui est venu jouer les trouble-fête.
Les recettes de Brussels Airlines ont ainsi augmenté de 35% pour atteindre 560 millions d’euros tandis que les mesures d’économie du plan “Reboot Plus” et une discipline stricte en matière de coûts ont permis de limiter à 5% l’augmentation des coûts d’exploitation, à 788 millions d’euros. La hausse des coûts du carburant (+62 %) a été partiellement contrebalancées par la baisse des frais de personnel (-17%).
Pour 2022, la compagnie aérienne augmentera progressivement sa capacité pour atteindre 80% de ses niveaux de 2019 d’ici juillet. Pour l’ensemble de l’année, Brussels Airlines prévoit d’opérer 74% de ses niveaux de capacité de 2019.
De son côté, la maison-mère Lufthansa a annoncé jeudi avoir divisé par trois sa perte nette en 2021, à 2,2 milliards d’euros.
Son ebit s’affiche dans le rouge à hauteur de 189 milllions d’euros mais il avait atteint -332 millions en 2020. Cette amélioration a été rendue possible par une augmentation de 47% du nombre de passagers transportés, à près de 3,48 millions. Si le début d’année 2021 a toujours été plombé par les mesures sanitaires, l’interdiction de voyager a été levée le 19 avril et la demande a commencé à croître dans la foulée. “La demande estivale a duré plus longtemps que les autres années en raison de l’effet des plans de voyage reportés et du désir de voyager après le verrouillage. Ce pic estival fort et prolongé a permis d’enregistrer un troisième trimestre positif et le premier bénéfice depuis le début de la pandémie”, rappelle la compagnie aérienne dans un communiqué. En fin d’année, c’est le variant Omicron qui est venu jouer les trouble-fête. Les recettes de Brussels Airlines ont ainsi augmenté de 35% pour atteindre 560 millions d’euros tandis que les mesures d’économie du plan “Reboot Plus” et une discipline stricte en matière de coûts ont permis de limiter à 5% l’augmentation des coûts d’exploitation, à 788 millions d’euros. La hausse des coûts du carburant (+62 %) a été partiellement contrebalancées par la baisse des frais de personnel (-17%). Pour 2022, la compagnie aérienne augmentera progressivement sa capacité pour atteindre 80% de ses niveaux de 2019 d’ici juillet. Pour l’ensemble de l’année, Brussels Airlines prévoit d’opérer 74% de ses niveaux de capacité de 2019.De son côté, la maison-mère Lufthansa a annoncé jeudi avoir divisé par trois sa perte nette en 2021, à 2,2 milliards d’euros.