Ces derniers temps, le Forem participe à toute une série d’importantes opérations de recrutement : 250 personnes chez GSK, 1.000 à l’armée, 13 job days dans l’horeca…
Ces actions de type “coup de poing” visent à marquer les esprits, en particulier ceux des 200.000 demandeurs d’emploi wallons susceptibles d’occuper les postes vacants. “C’est la formule qui marche le mieux aujourd’hui, explique l’administratrice générale du Forem, Marie-Kristine Vanbockestal, dans un entretien pour l’émission Trends Talk, qui sera diffusée ce weekend sur Canal Z.
Elle détaille les avantages de ces contacts directs à grande échelle, tant pour les demandeurs d’emploi que pour les employeurs ou même pour le personnel d’accompagnement du Forem.
L’écueil de ce “matching” entre l’offre et la demande de travail, c’est l’enlisement : plus les personnes restent longtemps au chômage, moins elles ont de chances de retrouver un emploi. Si le chômage diminue globalement (-4,6% en février par rapport à 2021), il est en revanche en hausse de plus de 6% pour les 88.000 personnes au chômage depuis plus de deux ans. Marie-Kristine Vanbockestal explique, dans ce Trends-Talk, comme les équipes du Forem tentent de s’attaquer à ce phénomène.
Au cours de ce Trends Talk, Mme Vanbockestal aborde aussi la crise ukrainienne et les dispositions prises par le Forem pour aider les réfugiés, qui bénéficieront automatiquement d’un permis de travail, à s’insérer sur le marché du travail.
Ces actions de type “coup de poing” visent à marquer les esprits, en particulier ceux des 200.000 demandeurs d’emploi wallons susceptibles d’occuper les postes vacants. “C’est la formule qui marche le mieux aujourd’hui, explique l’administratrice générale du Forem, Marie-Kristine Vanbockestal, dans un entretien pour l’émission Trends Talk, qui sera diffusée ce weekend sur Canal Z.Elle détaille les avantages de ces contacts directs à grande échelle, tant pour les demandeurs d’emploi que pour les employeurs ou même pour le personnel d’accompagnement du Forem. L’écueil de ce “matching” entre l’offre et la demande de travail, c’est l’enlisement : plus les personnes restent longtemps au chômage, moins elles ont de chances de retrouver un emploi. Si le chômage diminue globalement (-4,6% en février par rapport à 2021), il est en revanche en hausse de plus de 6% pour les 88.000 personnes au chômage depuis plus de deux ans. Marie-Kristine Vanbockestal explique, dans ce Trends-Talk, comme les équipes du Forem tentent de s’attaquer à ce phénomène.Au cours de ce Trends Talk, Mme Vanbockestal aborde aussi la crise ukrainienne et les dispositions prises par le Forem pour aider les réfugiés, qui bénéficieront automatiquement d’un permis de travail, à s’insérer sur le marché du travail.