
Le secteur horeca poussait un véritable “ouf” de soulagement vendredi à l’issue du Comité de concertation et de la décision de basculer au code orange du baromètre corona à partir du vendredi 18 février. Cela signifie la réouverture du secteur sans limite horaire et la fin de la limitation du nombre de personnes par table (actuellement 6), et du port du masque obligatoire pour la clientèle. Seul le personnel a encore l’obligation de porter un masque. Le Covid Safe Ticket sera, en revanche, lui toujours nécessaire pour pouvoir accéder aux restaurants et bars.
“La fermeture obligatoire à minuit représentait un important manque à gagner pour les restaurants et bars”, explique ainsi Fabian Hermans, le président de la fédération Horeca Bruxelles. Dorénavant, deux services seront à nouveau possibles en soirée, les bars pourront plus largement rouvrir et cela permettra de remplir la trésorerie. “Tout le secteur est dans une situation assez catastrophique à ce point de vue”‘, alerte ce responsable.
“Il était grand temps”, réagit, pour sa part, Erik Beunckens, directeur délégué de la Fédération des cafés de Belgique (FedCaf). “Notre secteur est vraiment dans une situation très précaire”, s’inquiète-t-il. “Nous ne connaissons pas encore le bilan définitif mais, après une enquête auprès de nos membres, je crains que sur les 13.000 établissements actuels, moins de 10.000 subsisteront à la fin de 2022.”
La fédération Horeca Bruxelles appelle dès lors à la mise en place de mesures de soutien pour le secteur par le gouvernement bruxellois, alors que des décisions en ce sens ont déjà été prises en Flandre et en Wallonie.
Le secteur a par ailleurs un besoin criant de personnel, “à tous les niveaux: bars, boîtes de nuit, restaurants et restaurants d’entreprise”, a encore souligné le président de la fédération Horeca Bruxelles.
“La fermeture obligatoire à minuit représentait un important manque à gagner pour les restaurants et bars”, explique ainsi Fabian Hermans, le président de la fédération Horeca Bruxelles. Dorénavant, deux services seront à nouveau possibles en soirée, les bars pourront plus largement rouvrir et cela permettra de remplir la trésorerie. “Tout le secteur est dans une situation assez catastrophique à ce point de vue”‘, alerte ce responsable. “Il était grand temps”, réagit, pour sa part, Erik Beunckens, directeur délégué de la Fédération des cafés de Belgique (FedCaf). “Notre secteur est vraiment dans une situation très précaire”, s’inquiète-t-il. “Nous ne connaissons pas encore le bilan définitif mais, après une enquête auprès de nos membres, je crains que sur les 13.000 établissements actuels, moins de 10.000 subsisteront à la fin de 2022.” La fédération Horeca Bruxelles appelle dès lors à la mise en place de mesures de soutien pour le secteur par le gouvernement bruxellois, alors que des décisions en ce sens ont déjà été prises en Flandre et en Wallonie. Le secteur a par ailleurs un besoin criant de personnel, “à tous les niveaux: bars, boîtes de nuit, restaurants et restaurants d’entreprise”, a encore souligné le président de la fédération Horeca Bruxelles.