Engie Electrabel a présenté un plan de rétention pour ses 2.000 collaborateurs des centrales de Doel et Tihange. L’entreprise propose une prime pour éviter que ses travailleurs ne la quittent avant la fermeture des centrales nucléaires, écrit mardi De Tijd.
L’incertitude persistante quant à l’avenir des centrales nucléaires en Belgique pourrait amener des collaborateurs à quitter l’entreprise de manière anticipée. “Or, pour garantir la sécurité nucléaire, nous avons besoin de tous nos travailleurs”, justifie le patron d’Electrabel, Thierry Saegeman, dans un courrier interne que le journal économique a pu consulter.
L’exploitant des centrales nucléaires s’engage à garantir l’emploi du personnel sous contrat à durée indéterminée jusqu’à la fin de 2027, soit même après l’arrêt prévu des sept réacteurs nucléaires (2025). Pour ceux qui prévoient de partir, mais qui s’engagent à rester jusqu’en juillet 2026, Engie propose une prime équivalente à un an de salaire annuel brut.
Pour que cette proposition soit validée, il faut cependant que le gouvernement confirme la sortie du nucléaire pour fin 2025.
L’incertitude persistante quant à l’avenir des centrales nucléaires en Belgique pourrait amener des collaborateurs à quitter l’entreprise de manière anticipée. “Or, pour garantir la sécurité nucléaire, nous avons besoin de tous nos travailleurs”, justifie le patron d’Electrabel, Thierry Saegeman, dans un courrier interne que le journal économique a pu consulter. L’exploitant des centrales nucléaires s’engage à garantir l’emploi du personnel sous contrat à durée indéterminée jusqu’à la fin de 2027, soit même après l’arrêt prévu des sept réacteurs nucléaires (2025). Pour ceux qui prévoient de partir, mais qui s’engagent à rester jusqu’en juillet 2026, Engie propose une prime équivalente à un an de salaire annuel brut. Pour que cette proposition soit validée, il faut cependant que le gouvernement confirme la sortie du nucléaire pour fin 2025.