Vendredi matin, les prix européens du gaz sont passés pour la première fois à 100 euros par mégawattheure (MWh), avant de redescendre. Une hausse intervenue après que la Chine a lancé la bataille pour l’approvisionnement en énergie.
Le TTF-Future néerlandais, prix de référence pour le gaz naturel, est monté pour atteindre les 100 euros/MWh, avant de baisser pour atteindre les 94,7 euros.
Vendredi, alors que le pays est confronté à de plus en plus de coupures de courant, la Chine a ordonné à ses compagnies d’énergie de s’assurer à tout prix que l’approvisionnement en électricité serait suffisant pour l’hiver prochain. La Russie ayant avoué fournir (selon ses propres dires) moins de gaz naturel à l’Europe, la bataille pour le gaz naturel risque de s’intensifier.
Les prévisions météo plus froides que prévu, combinées à une offre restreinte, à des droits d’émission onéreux et à des produits de base coûteux ont fait grimper les prix de l’énergie à des niveaux records depuis des semaines.
Le prix du pétrole a une nouvelle fois légèrement baissé vendredi matin. Dans les premiers échanges, le baril de 159 litres de Brent (référence au Moyen-Orient, en Afrique et en Europe) coûtait 78,23 dollars, soit huit cents de moins que la veille. Le baril de pétrole américain WTI, quant à lui, coute 74,92 dollars et est désormais devenu 11 cents moins chers.
Le TTF-Future néerlandais, prix de référence pour le gaz naturel, est monté pour atteindre les 100 euros/MWh, avant de baisser pour atteindre les 94,7 euros.Vendredi, alors que le pays est confronté à de plus en plus de coupures de courant, la Chine a ordonné à ses compagnies d’énergie de s’assurer à tout prix que l’approvisionnement en électricité serait suffisant pour l’hiver prochain. La Russie ayant avoué fournir (selon ses propres dires) moins de gaz naturel à l’Europe, la bataille pour le gaz naturel risque de s’intensifier.Les prévisions météo plus froides que prévu, combinées à une offre restreinte, à des droits d’émission onéreux et à des produits de base coûteux ont fait grimper les prix de l’énergie à des niveaux records depuis des semaines. Le prix du pétrole a une nouvelle fois légèrement baissé vendredi matin. Dans les premiers échanges, le baril de 159 litres de Brent (référence au Moyen-Orient, en Afrique et en Europe) coûtait 78,23 dollars, soit huit cents de moins que la veille. Le baril de pétrole américain WTI, quant à lui, coute 74,92 dollars et est désormais devenu 11 cents moins chers.