La FGTB plaide pour une baisse de la TVA à 6% sur le gaz et l’électricité et veut relancer le débat au sujet de la nationalisation du secteur de l’énergie, a-t-elle indiqué vendredi dans un communiqué. Selon le syndicat socialiste, “il faut agir structurellement pour mieux contrôler les prix de l’énergie.”
Le régulateur énergétique (CREG) a calculé qu’un ménage moyen va dépenser environ 1.000 euros par an pour son électricité et 1.600 euros pour le gaz, rappelle la FGTB, ajoutant que les prix vont continuer à grimper. Dès lors, le syndicat demande au gouvernement d’agir rapidement pour éviter un appauvrissement de la population et en particulier des plus précarisés. “L’accès à l’énergie est un bien de première nécessité qui doit être garanti à toutes et tous”, insiste-t-il.
Le maintien de la politique de tarifs sociaux en vigueur est “primordial” pour la FGTB, car “ils permettent aux citoyens les plus fragilisés de bénéficier des prix les plus bas du marché”. Le syndicat ajoute qu’il faut “agir structurellement pour mieux contrôler les prix de l’énergie” et plaide pour la baisse de la TVA à 6% sur le gaz et l’électricité. “Cette mesure est fiscalement et socialement juste”, estime-t-il. Il est également important, à ses yeux, de travailler sur la qualité des logements afin de réduire les dépenses énergétiques des ménages.
Enfin, pour la FGBT, il est temps d’oser ouvrir le débat sur “la reprise de contrôle, par les pouvoirs publics, du secteur énergétique”. Selon elle, la libéralisation du secteur de l’énergie est “un échec tant sur le plan du coût pour les consommateurs et consommatrices que sur celui de la qualité du service”.
“Si les prix de l’énergie ne sont pas rapidement maîtrisés, l’augmentation des salaires pourrait être annihilée, et ce malgré l’indexation”, avertit en conclusion le syndicat.
Le régulateur énergétique (CREG) a calculé qu’un ménage moyen va dépenser environ 1.000 euros par an pour son électricité et 1.600 euros pour le gaz, rappelle la FGTB, ajoutant que les prix vont continuer à grimper. Dès lors, le syndicat demande au gouvernement d’agir rapidement pour éviter un appauvrissement de la population et en particulier des plus précarisés. “L’accès à l’énergie est un bien de première nécessité qui doit être garanti à toutes et tous”, insiste-t-il. Le maintien de la politique de tarifs sociaux en vigueur est “primordial” pour la FGTB, car “ils permettent aux citoyens les plus fragilisés de bénéficier des prix les plus bas du marché”. Le syndicat ajoute qu’il faut “agir structurellement pour mieux contrôler les prix de l’énergie” et plaide pour la baisse de la TVA à 6% sur le gaz et l’électricité. “Cette mesure est fiscalement et socialement juste”, estime-t-il. Il est également important, à ses yeux, de travailler sur la qualité des logements afin de réduire les dépenses énergétiques des ménages. Enfin, pour la FGBT, il est temps d’oser ouvrir le débat sur “la reprise de contrôle, par les pouvoirs publics, du secteur énergétique”. Selon elle, la libéralisation du secteur de l’énergie est “un échec tant sur le plan du coût pour les consommateurs et consommatrices que sur celui de la qualité du service”. “Si les prix de l’énergie ne sont pas rapidement maîtrisés, l’augmentation des salaires pourrait être annihilée, et ce malgré l’indexation”, avertit en conclusion le syndicat.