Près de la moitié (43%) des 252 entreprises belges interrogées par Vias ont été victimes de cybercriminalité l’an dernier, ressort-il du deuxième baromètre de la sécurité de l’ancien institut belge pour la sécurité routière. Un phénomène est particulièrement en vogue selon les témoignages: les attaques diffamatoires sur les réseaux sociaux.
L’enquête a été menée entre janvier et mars 2021, en collaboration avec la Fédération des entreprises belges (FEB), l’Union des classes moyennes (UCM), l’Union wallonne des entreprises (UWE), la police fédérale, la Cyber Security Coalition, Unizo, Unisoc et Agrofront.
Il en ressort que le principal problème de sécurité des entreprises reste la cybercriminalité: 43% des répondants disent en avoir fait les frais au cours des 12 derniers mois, allant de l’accès illégal aux systèmes IT à une ingérence dans les données ou systèmes à l’aide d’un virus. La cyberextorsion et l’espionnage d’entreprise sont également cités.
Les autres problèmes de sécurité évoqués sont la dégradation de propriétés ou faits de vandalisme (38%), la détérioration de véhicule (37% des répondants concernés), mais aussi les propos diffamatoires à l’encontre de l’organisation sur les réseaux sociaux (27%).
Le baromètre laisse également percevoir que souvent, les entreprises victimes d’un acte criminel connaissaient leur auteur. “Il s’agit souvent d’un travailleur de l’entreprise, d’un entrepreneur ou d’un intérim”, rapporte Vias.
Les faits ne sont en outre pas toujours dénoncés. Les entreprises qui n’ont pas rapporté les faits estiment “que l’affaire n’était pas assez grave ou qu’il n’y a pas eu de dommages visibles”.
Vias rappelle que “la lutte contre la criminalité dans une entreprise ou un commerce est l’affaire de tous”. “Si des actes criminels sont commis, il est important qu’ils soient toujours signalés.”
L’enquête a été menée entre janvier et mars 2021, en collaboration avec la Fédération des entreprises belges (FEB), l’Union des classes moyennes (UCM), l’Union wallonne des entreprises (UWE), la police fédérale, la Cyber Security Coalition, Unizo, Unisoc et Agrofront. Il en ressort que le principal problème de sécurité des entreprises reste la cybercriminalité: 43% des répondants disent en avoir fait les frais au cours des 12 derniers mois, allant de l’accès illégal aux systèmes IT à une ingérence dans les données ou systèmes à l’aide d’un virus. La cyberextorsion et l’espionnage d’entreprise sont également cités. Les autres problèmes de sécurité évoqués sont la dégradation de propriétés ou faits de vandalisme (38%), la détérioration de véhicule (37% des répondants concernés), mais aussi les propos diffamatoires à l’encontre de l’organisation sur les réseaux sociaux (27%). Le baromètre laisse également percevoir que souvent, les entreprises victimes d’un acte criminel connaissaient leur auteur. “Il s’agit souvent d’un travailleur de l’entreprise, d’un entrepreneur ou d’un intérim”, rapporte Vias. Les faits ne sont en outre pas toujours dénoncés. Les entreprises qui n’ont pas rapporté les faits estiment “que l’affaire n’était pas assez grave ou qu’il n’y a pas eu de dommages visibles”. Vias rappelle que “la lutte contre la criminalité dans une entreprise ou un commerce est l’affaire de tous”. “Si des actes criminels sont commis, il est important qu’ils soient toujours signalés.”