Le projet serait de plus en contradiction avec le plan de politique de qualité de l’air de la ville de Vilvorde qui vise à atteindre la neutralité climatique d’ici 2025 et à réduire radicalement les émissions de CO2.
Engie Electrabel a fait appel du rejet de permis de construction d’une centrale à gaz à Vilvorde, a fait savoir lundi le groupe énergétique. La province du Brabant flamand avait rejeté en juillet la demande de permis. Une procédure en appel a été déposée auprès de la ministre flamande de l’Énergie, Zuhal Demir.
Selon le député provincial Gunther Coppens (N-VA), la centrale émettrait trop d’azote, de CO2 et d’ammoniac. Il s’agit d’un revers pour un avenir proche censé se passer de l’énergie nucléaire, puisqu’il faudrait construire deux à trois grandes centrales à gaz en Belgique.
Le projet serait de plus en contradiction avec le plan de politique de qualité de l’air de la ville de Vilvorde qui vise à atteindre la neutralité climatique d’ici 2025 et à réduire radicalement les émissions de CO2. Le site de Vilvorde avait été racheté par la société Engie-Electrabel il y a un an et était considéré comme l’un des principaux candidats dans le projet de construction de centrales à gaz en Belgique, censées devoir absorber la sortie du nucléaire prévue d’ici 2025.
Engie Electrabel a fait appel du rejet de permis de construction d’une centrale à gaz à Vilvorde, a fait savoir lundi le groupe énergétique. La province du Brabant flamand avait rejeté en juillet la demande de permis. Une procédure en appel a été déposée auprès de la ministre flamande de l’Énergie, Zuhal Demir. Selon le député provincial Gunther Coppens (N-VA), la centrale émettrait trop d’azote, de CO2 et d’ammoniac. Il s’agit d’un revers pour un avenir proche censé se passer de l’énergie nucléaire, puisqu’il faudrait construire deux à trois grandes centrales à gaz en Belgique. Le projet serait de plus en contradiction avec le plan de politique de qualité de l’air de la ville de Vilvorde qui vise à atteindre la neutralité climatique d’ici 2025 et à réduire radicalement les émissions de CO2. Le site de Vilvorde avait été racheté par la société Engie-Electrabel il y a un an et était considéré comme l’un des principaux candidats dans le projet de construction de centrales à gaz en Belgique, censées devoir absorber la sortie du nucléaire prévue d’ici 2025.