L’enquête a commencé en juin 2020, peu après que les supermarchés ont commencé à vendre des masques buccaux
L’Autorité belge de la concurrence mène depuis plus d’un an une enquête sur d’éventuelles ententes illégales sur les prix des masques buccaux pratiqués dans des supermarchés, a confirmé lundi l’auditeur-général du gendarme de la concurrence.
Le conseil d’administration de la chaîne de supermarchés Carrefour Belgique fait mention, dans son rapport de gestion annuel, d’une enquête de l’Autorité belge de la concurrence, initiée en 2020, “qui porte sur les échanges entre différents distributeurs concernant la vente des masques de protection au public et au gouvernement belge”. Il n’est pas clair à ce stade quelles autres chaînes sont concernées.
A l’Autorité de la concurrence, on confirme que l’enquête est toujours en cours. Elle a débuté en juin 2020, peu après que les supermarchés ont commencé à vendre des masques buccaux, en pleine crise du coronavirus. “Nous avons vu des choses qui nous ont semblé étranges”, explique-t-on.
C’est le prix des masques qui a fait tiquer le gendarme de la concurrence.
L’Autorité belge de la concurrence mène depuis plus d’un an une enquête sur d’éventuelles ententes illégales sur les prix des masques buccaux pratiqués dans des supermarchés, a confirmé lundi l’auditeur-général du gendarme de la concurrence. Le conseil d’administration de la chaîne de supermarchés Carrefour Belgique fait mention, dans son rapport de gestion annuel, d’une enquête de l’Autorité belge de la concurrence, initiée en 2020, “qui porte sur les échanges entre différents distributeurs concernant la vente des masques de protection au public et au gouvernement belge”. Il n’est pas clair à ce stade quelles autres chaînes sont concernées. A l’Autorité de la concurrence, on confirme que l’enquête est toujours en cours. Elle a débuté en juin 2020, peu après que les supermarchés ont commencé à vendre des masques buccaux, en pleine crise du coronavirus. “Nous avons vu des choses qui nous ont semblé étranges”, explique-t-on. C’est le prix des masques qui a fait tiquer le gendarme de la concurrence.